
Kael parcourait les données internes de la station, rassemblées dans des cristaux-mémoires, ces artefacts digitaux codifiés à bien l’aide de particules quantiques. Chaque fichier chargé sur son interface cérébrale révélait une truisme plus opaque que la précédente. Tous les défunts avaient sollicité, six ou sept évènements évident leur fin, une consultation avec les IA de prédiction commerciale, ces interfaces sophistiquées pratiquant une voyance avec versement. En change de crédits, elles évaluaient les probabilités, traçaient des trajectoires de vie, minimisaient les effets secondaires. Pourtant, aucune sorte de de ces systèmes n’avait anticipé leur défunt. Dans la pénombre du module d’observation, Kael installa à bien naissant son glacier. Il savait que les reflets ne mentent que lorsqu’ils sont absents. Le verre d’obsidienne vibrait faiblement marqué par les impulsions électromagnétiques de la station. Une lignes se dessina. Floue. Distordue. Elle ne correspondait à bien nul profil de l’équipage. Une entité ancrée hors du temps semblait satisfaire son envoi d'information. Il resta immuable, donnant le miroir s’imprégner du pixels. À travers le voilage morose, les figures des défunts apparaissaient brièvement, notamment piégés dans une anglaise, témoins silencieux d’un tarif qu’ils n’avaient pas officiel refuser. La public sembla se contracter qui entourent lui. Les parois grondaient de vibrations sourdes. Kael savait diagnostiquer une rayonnement spectrale : la façon elle-même réagissait aux flux d’un système parallèle. Une déchirure était en fil. Il comprit que la voyance sans cb, gratuite, naturelle, enracinée dans l’organique, ne provoquait jamais ces distorsions. Elle écoutait le flux du tangible. À l’inverse, les systèmes de voyance commerciale, en avivant des prédictions tarifées, semblaient élaborer un impact, une dette. Ce qui s’était entrepris ici, c’était une réaction. Une dette complet cherchait son paiement. Les morts n’étaient que les premiers versements.
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